L’humain au centre de la justice : une approche restaurative et collective
La justice restaurative va au-delà de la sanction des actes répréhensibles ; elle se mobilise pour écouter, comprendre et reconstruire.
La justice restaurative va au-delà de la sanction des actes répréhensibles ; elle se mobilise pour écouter, comprendre et reconstruire.
La réconciliation post-conflit est à la fois un trajet et une destination. En d’autres mots, elle peut être considérée à la fois comme l’instauration d’un changement (le processus) et l’aboutissement d’un changement (le résultat).
Les sociétés ayant vécu un passé violent doivent lui faire face et accepter la pluralité des représentations divergentes de ce qui est arrivé. En ce sens, la réconciliation ne peut advenir sans un travail de mémoire de la part des parties en présence.
En 2024, la médiation occupe une place de plus en plus reconnue dans la résolution des conflits, proposant une alternative efficace aux procédures judiciaires traditionnelles.
Au Nord-Kivu, les conflits communautaires sont majoritairement causés par des tensions liées à l’accès à la terre. La gestion des terres devient donc une question clé pour la stabilité et la paix car elle implique des litiges fonciers, des déplacements de populations et des rivalités qui ne datent pas d’hier.
Nous commémorions le 9 décembre dernier les victimes de crimes de génocide, l’affirmation de leur dignité et la prévention de ce crime. Cette journée internationale établie par les Nations Unies est l’occasion de mettre en lumière les initiatives relevant de cet important processus.
L’éducation à la citoyenneté mondiale et solidaire (ECMS) a pour objectif de construire des sociétés plus justes, durables, inclusives et solidaires par la conscientisation des citoyens sur les enjeux mondiaux et leurs actions, individuelles ou collectives.
RCN Justice & Démocratie (RCN J&D) a eu l’honneur de recevoir à Bruxelles Monsieur Dieudonné Kaluba Dibwa, Président de la Cour Constitutionnelle et Président du Conseil Supérieur de la Magistrature de la République démocratique du Congo (RDC), accompagné par une délégation de la Cour Constitutionnelle…
Le 15 septembre, nous célébrerons la Journée internationale de la démocratie, l’occasion d’observer l’état de la démocratie dans le monde. Le peuple y est souverain et l’égalité, la liberté, le respect des droits humains ainsi que le vote en sont les piliers. Qu’en est-il en temps de crise sanitaire ? La pandémie de COVID-19 représente-t-elle une menace à la démocratie ? Quelle est la place du citoyen dans la prise de décision quant aux mesures sanitaires ?
Dans une société post-conflit, il est important de pouvoir rapidement et durablement mettre fin au cercle vicieux ayant mené à la violence.
Il est convenu généralement que les lois qui gouvernent les sociétés occidentales procèdent de leurs interdits, de leurs mœurs, de leur culture, de leur tradition et de leurs projets.
16 590, c’est le nombre d’affaires de violences faites aux femmes rapportées au Maroc en 2020. Plus de 1000 de ces affaires concernaient des mineures. Selon le Ministère de la solidarité, le taux de prévalence de la violence à l’égard des femmes sur le territoire marocain est de 54,4%.